Résumé :
21 Juin 2013, l’inespéré se réalise. Le narrateur est invité à l’Institut Pouchkine à Moscou. Pendant un mois, le rêve affronte la réalité dans des chapitres mêlant des êtres fantastiques et disparus. Le héros croise un lion, suit la trace de Napoléon et fuit son double. Les grands écrivains Stefan Zweig, Dostoïevski, Proust et Gontcharov dialoguent dans une œuvre originale dans sa forme et son contenu. Plus qu’un récit de voyages, c’est un récit de pensées d’un voyageur.
21 Juin 2013, l’inespéré se réalise. Le narrateur est invité à l’Institut Pouchkine à Moscou. Pendant un mois, le rêve affronte la réalité dans des chapitres mêlant des êtres fantastiques et disparus. Le héros croise un lion, suit la trace de Napoléon et fuit son double. Les grands écrivains Stefan Zweig, Dostoïevski, Proust et Gontcharov dialoguent dans une œuvre originale dans sa forme et son contenu. Plus qu’un récit de voyages, c’est un récit de pensées d’un voyageur.
Mon avis :
Tout d’abord, je remercie les éditions Lamiroy pour l’envoi
de ce livre ! Je n’ai pas choisi ce livre et si j’avais pu je ne l’aurais
sûrement pas pris… Pour commencer, je tiens à préciser que mon avis est
totalement personnel et que si vous voulez forger le votre alors lisez-le !
Seulement voilà, je ne vous le recommande pas du tout ! Si vous aimeriez
découvrir des petits bouquins de cette édition, je vous en conseillerai plutôt
d’autres que celui-ci et dont j’ai réalisé de bonnes chroniques. Mon avis est
très tranché : je n’ai rien compris à l’histoire et je ne vois pas le but
de l’auteur. Où veut-il nous emmener ? Quel message veut-il nous
transmettre ? Au final, quel est le but de ce livre ? On suit un
étudiant qui visite Moscou avec ses amis… et c’est à peu près tout de ce que j’ai
appris de sa vie et de l’histoire en elle-même… Tout était très flou et très
bizarre : par moments on était avec l’étudiant (seul instant assez
intéressant, selon moi) d’autres fois je ne savais même pas où j’avais atterri
tellement que l’intrigue était confuse et mal coordonnée ! Le texte était
saturé de citations à s’en noyer, je trouve cela intéressant quand les auteurs intègrent
des exemples d’œuvres ou encore leurs connaissances personnelles…mais trop c’est
trop. Surtout que la plupart d’entre elles étaient méconnues, pour ma part, donc
je ne pouvais ni partager la frénésie du narrateur, ni déchiffrer les
comparaisons me laissant perplexe et déroutée. Je ne comprenais pas non plus
les apparitions fantastiques qui surgissaient sans la moindre logique et qui me
coupaient dans ma lecture au lieu de la fluidifier. Ce livre est un méli-mélo d’étrangetés,
à moins que ce soit moi qui suis étrange et qui n’a pas su cerner les
intentions de Maxime Lamiroy. Le narrateur a très certainement voulu nous
emmener avec lui dans son aventure à Moscou, mais il n’a réussi qu’à nous
égarer au fil des pages. Je ne parle même pas des personnages qui, selon moi,
sont sans forme ni caractère. Je pense que j’oublierais très vite ce livre me
laissant, actuellement, dubitative et envieuse de passer à une autre lecture.
« Quelqu’un qui attend le bus comme la pensée attend l’événement,
pense à tellement de choses dans cette aventure qu’il en oublie le bus. Du
coup, l’arrivée du bus devient une surprise, un événement. De cette manière, la
pensée attendant l’éclaircie dans le noir-gris se surprend à effectuer l’éclaircie. »
Ma note :
1/5
A savoir :